- La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à
une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit,
si ce n'est aux faits eux-mêmes; parce que, pour elle se soumettre, ce serait
cesser d'exister.
(Discours prononcé aux fêtes du 75eme anniversaire de l'ULB [Université Libre de Bruxelles], le 21 novembre 1909)
(pensée que l'on trouvait un peu partout à l'Université Libre de Bruxelles)
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