David Ogilvy (1911-1999)

Les confessions d'un publicitaire (1963)


  • Rien n'est plus stimulant que de travailler pour un maître incontesté. (p.11)

  • Dans les meilleures maisons, les promesses sont toujours tenues, quoi qu'il puisse en coûter de souffrances et d'heures supplémentaires. (p.14)

  • Dans le monde moderne des affaires, il ne sert à rien d’être un cerveau créateur et original si l'on n'est pas capable de vendre ce que l'on crée. (p.25)

  • Après la chance, les meilleures armes dans la chasse aux contrats sont la fécondité et le travail de nuit. (p.37)

  • Je n'ai jamais voulu avoir de budget si énorme que je ne puisse me permettre de le perdre. Le jour où cela vous arrive, vous vous condamnez à vivre dans la peur. Et la peur fait perdre aux agences le courage de donner des avis sincères; une fois ce courage perdu, vous n'étes plus qu'un larbin. (p.49)

  • Il est notoirement malhonnête pour un publicitaire d'inciter les consommateurs à acheter un produit qu'il interdirait à sa femme d'acheter. (p.67)

    (Editions Dunod 1978.Traduit par Bernard Franckel et Jacques-Henry Bouet)



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